The Amazing Spider-Man : l'interview de Marc Webb
Le réalisateur Marc Webb s'est récemment confié sur le reboot de la franchise Spider-Man qui sortira prochainement au cinéma. Voici le contenu de l’interview :
Vous avez sorti une nouvelle affiche en décembre, où il était marqué ‘The Untold Story’. Est-ce que c’est l’histoire non révélée que vous souhaitiez raconter ?
Oui, ça fait partie de l’histoire non révélée. C’est très important pour nous de communiquer qu’il ne s’agit pas d’un remake des films de Sam Raimi. C’est un nouveau territoire, un nouveau méchant et un Peter Parker différent.
Pourquoi avez-vous pensé que Gwen Stacy était le bon choix, contrairement à Mary Jane ?
Nous avons déjà vu Mary Jane. Je pense également que Gwen Stacy est une jeune femme très intelligente à l’esprit scientifique, peut-être même plus intelligente que Peter parfois. J’aime cette dynamique, qu’il y ait une rivalité entre les deux personnages en quelque sorte. Et je pense que l’alchimie d’Emma et Andrew la décrit d’une manière très drôle et très intime.
En regardant les bandes-annonces et les affiches, le film semble avoir une tonalité plus sombre, pourtant Spidey a toujours été un super-héros amusant et farceur. Est-ce que vous avez pu maintenir l’humour dans votre film ?
Il y a ce côté farceur que nous souhaitions explorer, avec cet humour et ce côté vanneur. Nous voulions le conserver, mais nous voulions aussi que ce soit réaliste. Nous voulions que l’humour vienne naturellement. Mon but était de créer un monde dans lequel vous pouviez ressentir toutes ces émotions. Il y aura certainement des émotions plus sombres et intenses dans ce film. Il y a de la trahison, de la tragédie, mais aussi de l’humour et de la romance. Donc c’est un bouquet complexe d’émotions, mais ce que vous devez expérimenter c’est ce qui est authentique et vrai, vous devez gagner ces différentes émotions. Il y a des moments de rage et de gravité, absolument. Mais y-a-t-il des moments d’humour, de légèreté et de fantaisie ? Egalement. Andrew était vraiment super. Il a utilisé ce terme pour décrire Peter Parker et Spider-Man en particulier : c’est un farceur. Il se demandait, ‘comment Spider-Man coincerait ce type ? Il lui tirerait le slip ou lui ferait d’affreux graffiti’. Il y a un côté punk rock chez Peter Parker qui est très irrévérencieux et amusant, et c’est quelque chose qu’Andrew représente d’une manière que nous n’avions pas vue avant.
Il semble que la façon d’être de Spider-Man, ses pouvoirs et la façon dont il se déplace, rendra parfaitement en 3D.
Quand nous en avons d’abord parlé, on était à l’apogée de la 3D et tout le monde était dingue de ça. Mais on ne nous l’a jamais imposé. Je pensais que s’il devait y avoir un film en 3D, ça devait être Spider-Man. Et le voir en 3D, particulièrement en IMAX, même les premières séquences que j’ai vues, c’est fantastique. Vous avez un ressenti viscéral que vous ne pouvez avoir qu’avez une très bonne 3D. Nous avons tout tourné en stéréo donc c’est la 3D d’origine. Rien n’a été converti. Et quand vous avez cela, le film s’étend petit à petit. Ca commence très intimement et ça s’étend petit à petit pour exploiter cette sensation. Donc est-ce que c’est nécessaire de le voir en 3D ? Non, vous aurez toujours des frissons. Mais ces séquences de vue à la première personne viennent de la philosophie de placer le public dans la peau de Spider-Man. Nous voulions qu’il ressente ce qui lui ressent, et c’est de là que ces plans sont nés.
Parlez-nous du méchant, Rhys Ifans en Dr Curt Connors.
Le Gallois. Il est fantastique. Il apporte une sophistication un peu bourrue. Curt Connors est un ami de Peter Parker. C’est un allié qui devient un adversaire, mais Peter tient toujours au Dr. Connors. Rhys a deux facettes de sa personnalité. Il est extrêmement gentil et chaleureux, et il a un côté rock’n’roll sauvage, et vous pouvez ressentir ces deux facettes dans le film.
« The Amazing Spider-Man » de Marc Webb, avec Andrew Garfield, Emma Stone, Rhys Ifans, Martin Sheen, Denis Leary, Sally Field et Chris Zylka, sortira au cinéma le 4 juillet 2012.
Vous avez sorti une nouvelle affiche en décembre, où il était marqué ‘The Untold Story’. Est-ce que c’est l’histoire non révélée que vous souhaitiez raconter ?
Oui, ça fait partie de l’histoire non révélée. C’est très important pour nous de communiquer qu’il ne s’agit pas d’un remake des films de Sam Raimi. C’est un nouveau territoire, un nouveau méchant et un Peter Parker différent.
Pourquoi avez-vous pensé que Gwen Stacy était le bon choix, contrairement à Mary Jane ?
Nous avons déjà vu Mary Jane. Je pense également que Gwen Stacy est une jeune femme très intelligente à l’esprit scientifique, peut-être même plus intelligente que Peter parfois. J’aime cette dynamique, qu’il y ait une rivalité entre les deux personnages en quelque sorte. Et je pense que l’alchimie d’Emma et Andrew la décrit d’une manière très drôle et très intime.
En regardant les bandes-annonces et les affiches, le film semble avoir une tonalité plus sombre, pourtant Spidey a toujours été un super-héros amusant et farceur. Est-ce que vous avez pu maintenir l’humour dans votre film ?
Il y a ce côté farceur que nous souhaitions explorer, avec cet humour et ce côté vanneur. Nous voulions le conserver, mais nous voulions aussi que ce soit réaliste. Nous voulions que l’humour vienne naturellement. Mon but était de créer un monde dans lequel vous pouviez ressentir toutes ces émotions. Il y aura certainement des émotions plus sombres et intenses dans ce film. Il y a de la trahison, de la tragédie, mais aussi de l’humour et de la romance. Donc c’est un bouquet complexe d’émotions, mais ce que vous devez expérimenter c’est ce qui est authentique et vrai, vous devez gagner ces différentes émotions. Il y a des moments de rage et de gravité, absolument. Mais y-a-t-il des moments d’humour, de légèreté et de fantaisie ? Egalement. Andrew était vraiment super. Il a utilisé ce terme pour décrire Peter Parker et Spider-Man en particulier : c’est un farceur. Il se demandait, ‘comment Spider-Man coincerait ce type ? Il lui tirerait le slip ou lui ferait d’affreux graffiti’. Il y a un côté punk rock chez Peter Parker qui est très irrévérencieux et amusant, et c’est quelque chose qu’Andrew représente d’une manière que nous n’avions pas vue avant.
Il semble que la façon d’être de Spider-Man, ses pouvoirs et la façon dont il se déplace, rendra parfaitement en 3D.
Quand nous en avons d’abord parlé, on était à l’apogée de la 3D et tout le monde était dingue de ça. Mais on ne nous l’a jamais imposé. Je pensais que s’il devait y avoir un film en 3D, ça devait être Spider-Man. Et le voir en 3D, particulièrement en IMAX, même les premières séquences que j’ai vues, c’est fantastique. Vous avez un ressenti viscéral que vous ne pouvez avoir qu’avez une très bonne 3D. Nous avons tout tourné en stéréo donc c’est la 3D d’origine. Rien n’a été converti. Et quand vous avez cela, le film s’étend petit à petit. Ca commence très intimement et ça s’étend petit à petit pour exploiter cette sensation. Donc est-ce que c’est nécessaire de le voir en 3D ? Non, vous aurez toujours des frissons. Mais ces séquences de vue à la première personne viennent de la philosophie de placer le public dans la peau de Spider-Man. Nous voulions qu’il ressente ce qui lui ressent, et c’est de là que ces plans sont nés.
Parlez-nous du méchant, Rhys Ifans en Dr Curt Connors.
Le Gallois. Il est fantastique. Il apporte une sophistication un peu bourrue. Curt Connors est un ami de Peter Parker. C’est un allié qui devient un adversaire, mais Peter tient toujours au Dr. Connors. Rhys a deux facettes de sa personnalité. Il est extrêmement gentil et chaleureux, et il a un côté rock’n’roll sauvage, et vous pouvez ressentir ces deux facettes dans le film.
« The Amazing Spider-Man » de Marc Webb, avec Andrew Garfield, Emma Stone, Rhys Ifans, Martin Sheen, Denis Leary, Sally Field et Chris Zylka, sortira au cinéma le 4 juillet 2012.
Post a Comment